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La 'Dodentocht' de Bornem accueille l'eID et la RFID
La 40ème édition de la marche Kadee Dodentocht de 100 km organisée à Bornem sera placée sous le signe de la technologie.
L'enregistrement pourra en effet se faire au moyen de la carte d'identité électronique (eID), et tous les participants seront suivis par des puces RFID et par SMS.
L'an dernier, Lin.k, l'entreprise de l'ex-patron de Vasco, Mario Houthooft, a élaboré un projet pilote ayant pour but de permettre aux participants à la marche de s'inscrire au moyen de leur carte
d'identité électronique.
Cette année, neuf guichets eID seront prévus dans la tente d'enregistrement. "Nous pensons qu'en s'inscrivant avec l'eID, il n'y aura quasiment pas de files d'attente, ce qui incitera les gens
à expérimenter plus rapidement le système", déclare Frans De Leeuw, responsable ICT au sein du comité organisateur.
L'application d'enregistrement a été développée par Lin.k qui a utilisé à la base la plate-forme d'identité centralisée LinkID. "Du point de vue technologique, cela peut sembler facile, mais le
défi consistait à simplifier au maximum les choses pour l'utilisateur final", explique Mario Houthooft, managing director, "c'est en outre un bel exemple de la manière dont l'eID peut être
utilisée pour autre chose qu'une application gouvernementale."
Le principal avantage pour les organisateurs, c'est l'absence de toute intervention manuelle. Suivi via RFID et SMS, la Dodentocht qui aura lieu cette année les 14 et 15 août, espère pour la
première fois dépasser le seuil des 10.000 participants.
Tous les participants recevront une balise RFID de VIA (Vlaanderen in Actie). Ces balises seront lues automatiquement à chaque poste de contrôle, et les données collectées seront transférées via
UMTS. Par SMS, les membres de la famille et les amis du participant pourront savoir où il se trouve. L'opérateur alternatif EDPnet se chargera de l'infrastructure réseautique.
"Nous avons toujours été des précurseurs ICT en matière d'événements sportifs. Grâce à Phi-Data, nous avons été ainsi les premiers à utiliser un scanner de codes-barres. Et il y a plus
longtemps encore, nous avons même été des pionniers dans l'utilisation d'un environnement AS400 avec l'ex-Bizibit", poursuit Frans De Leeuw.
A terme, les organisateurs espèrent en arriver à une intégration des différents moyens d'identification. Actuellement, il s'agit encore de deux bracelets, d'une balise RFID et d'un collier.
Article original publié par notre confrère DataNews