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La RFID a été mise en place par la société Nedap et est couplée au SIGB (Système Informatique de Gestion de Bibliothèque) Carthame.
Une puce électronique sur le document est identifiée par radiofréquence. (Antivol, prêt, inventaire). L’étiquette RFID du document contient le numéro d’exemplaire, le nom de la Bibliothèque
(n° RCR) et la section.
La carte RFID du lecteur contient le numéro de lecteur et le nom de la bibliothèque.
Le tag est composé d’une puce en silicium et d’une antenne (fil de cuivre).
L’étiquette est l’émetteur d’un signal radio qui permet de l’identifier à distance (moins de 50 cm). La platine (sous la banque de prêt) reçoit l’information (n° d’exemplaire…) et la transmet au
SIGB qui fait la transaction (prêt ou retour) et active ou désactive la fonction antivol, se qui déclenche ou non un signal sonore au passage du portique.
La platine peut lire les étiquettes mais aussi écrire des données dans la puce : ce qui permet l’encodage des cartes lecteurs et des étiquettes à l’aide de la traditionnelle douchette.
Nous avons 5 plaques (2 de plus au 2 juillet 2009), 2 à la banque de prêt, 2 aux banques de retour dans les sections et une à l’atelier.
Le système permet dans une même action de faire les transactions et d’activer ou non l’antivol.
Un bémol (classique) : des problèmes d’identification des documents métalliques et des documents multiples (coffret CD) ou pile trop importante de documents.